Royaume-Uni : les séquelles de l’avortement

De hautes figures de la gynécologie, de l’obstétrique, de la psychiatrie, de la psychologie et de la médecine générale ont cosigné une lettre dans The Times de Londres pour demander une réforme de la pratique en matière d’information des femmes voulant avorter. Elles doivent connaître les risques de dépression, de suicide, de toxicomanie et d’alcoolisme qui sont liés à l’avortement, assurent-ils

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