La prostitution gagne les bancs de la fac

Pour payer leur loyer ou « gagner » leur argent de poche, les étudiantes seraient de plus en plus nombreuses à vendre leurs charmes.
Certaines « travaillent » dans les bars à hôtesses ou les agences d’escort girls. D’autres utilisent Internet pour louer leurs services de masseuses ou de femmes de ménage en petite tenue. Les plus téméraires investissent la rue à Paris, à Lyon, à Montpellier ou même à Bruxelles. Le sujet est sensible, mais les étudiantes aussi peuvent verser dans la prostitution. Pour payer leur loyer, financer leurs études ou bien « gagner » leur argent de poche ; régulièrement ou de façon occasionnelle ; issues de milieux défavorisés ou pas… Elles seraient de plus en plus nombreuses à faire commerce de leur corps.

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