GB: Un policier musulman porte plainte pour discrimination

Un policier musulman habilité au port d’armes a porté plainte contre la police britannique, qui l’a retiré d’une unité assurant la protection de personnalités telles que le Premier ministre Tony Blair, rapporte mardi le quotidien the Independent.

Une porte-parole de la police a confirmé que la police de Londres avait été informée de la plainte déposée auprès d’un tribunal du travail par un policier « se disant victime de discrimination raciale et religieuse« . Elle s’est refusée à tout autre commentaire. 

Selon l’Independent, Amjad Farooq, 39 ans, s’est vu signifier en 2003 qu’il représentait une menace pour la sécurité nationale parce que deux de ses cinq enfants – qui avaient alors neuf et 11 ans – avaient fréquenté une mosquée associée à un groupe extrémiste présumé

1 réponse à GB: Un policier musulman porte plainte pour discrimination

  1. Three piglets dit :

    L’accusation de warisme est la boite de pandore permettant de porter n’importe qui devant un tribunal (ou de se faire justice soi même) pour n’importe quelle raison pour autant que le plaigant ne soit pas Européen (de préférance arabo_musulman ou africain) et que la présumé coupable soit Européen ou un symbole de l’autorité Européenne.
    Cette accusation permet de justifier toute tentative de meurtre, d’intifadas, de terrorisme, de pression intellectuelle et finalement, d’afro-islamisation de l’Europe.
    Car il faut bien comprendre que si beaucoup d’Européens refusent de voir leur continent ressemblé au Tiers-monde, ce n’est pas à cause des désagrément que peut engendre l’Islam, mais parce que l’identité de l’Islam est étrangére à nos peuples et à notre civilisation.
    Ce qui signifie que même si l’Islam était une religion de bisounours, le fait d’etre souverain chez soi justifierai un refus polit et net.
    Heureusement, l’Islam est facteur de trouble, les populations de Tiers monde restent des populations du Tiers monde même en habitant en Europe, avec toute la crasse intellectuelle que l’on peut observer à chaque fois que l’un deux se met à emettre un avis sur nos pays.

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