Le gouvernement veut continuer à «faire confiance aux soldats». Celui qui veut conserver son arme après le service militaire devra seulement prouver son intérêt pour le tir.
Les anciens soldats devront en plus confirmer par écrit qu’il n’existe pas de motifs les empêchant de la conserver. Le gouvernement renonce à demander un extrait du casier judiciaire.