Paralysé à vie après une agression: La faute à la victime…

Genève: Il avait 52 ans, une belle carrière, une maison à Vésenaz et une résidence secondaire à Crans-Montana. Il aimait la marche, le ski, la natation. Tout allait bien jusqu’à ce jour où il a rencontré deux Algériens… Tétraplégique pour quelques ­cartes de crédit, un téléphone portable, une montre et une poignée de dollars.

Les deux prévenus sont encore accusés d’avoir volé plusieurs personnes. Interpellé peu après les faits, il a été relâché. S’il n’avait pas été libéré aussi rapidement, le drame du parking du Mont-Blanc aurait peut-être pu être évité.

Les deux prévenus, défendus par Mes Hayat, Milani et Hassberger, contestent une partie des faits. Les avocats affirment que leurs clients n’ont jamais voulu infliger des lésions aussi graves à leur victime tétraplégique. Ils tentent d’ailleurs de prouver qu’il n’y a pas de lien de causalité entre l’agression et la paralysie. Ils soulignent que dans sa jeunesse, le banquier a souffert d’une maladie inflammatoire rhumatismale appelée la maladie de Bechterew. Cette affection, même si elle ne progresse plus, provoque une certaine rigidité dans la colonne vertébrale. Selon eux, c’est à cause de cette rigidité que la chute a rendu le banquier tétraplégique.

Quelle bande de pourris, vous allez voir que ça va être de sa faute, il n’avait qu’à pas les provoquer, dans LEUR parking, avec son téléphone portable et n’avait qu’à ne pas se laisser agresser

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