Le Conseil des oulémas indonésiens, la plus haute instance religieuse musulmane en Indonésie, a décrété jeudi que les victimes d’un viol devraient être autorisées à avorter à la condition que la grossesse ne dépasse pas quarante jours. Vachement pratique, la femme après avoir été lapidée pour son viol, sera encore égorgée par les siens pour avoir avorté…