La libération d’Édouard de Rothschild

Le Figaro: Edouard de Rothschild l’assure : non, il ne se rend pas en voiture anglaise avec chauffeur à Libération ; oui, il tutoyait sa mère et l’appelait maman ; oui aussi, il s’occupe de ses enfants et aime beaucoup moins les mondanités qu’on ne le croit. « Cela me gonfle au plus haut point, probablement en réaction à ma mère qui était très mondaine. ».

Instant délicieux où l’extrême-gauche doit sa survie au grand capital…

Dossier: ce qui se passe à Libé

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