Felix Gutzwiller, le Frankenstein de la politique suisse, qui s’est battu comme un beau diable pour obtenir toute latitude en matière de manipulation d’embryons, semble désormais regretter son geste comme hanté par la dure réalité de ce qu’il a initié.
Ledit Conseiller a émis une motion pour demander au Conseil fédéral de veiller à ce que les embryons soient implantés un par un lors des fécondations in vitro (FIV) pour endiguer la hausse des grossesses surnuméraires, lesquelles, on le sait sont riches en avortement.
Pensez-vous que c’est cela qui arrête le Conseiller radical ? point du tout ! Ce qui l’inquiète, c’est la hausse des coûts engendrée par tout cet appareil répressif de la vie à naître et ce qui le motive c’est le droit qu’il veut obtenir de « développer plusieurs embryons mais de n’en implanter qu’un seul » afin de garantir aux labos d’expérimentations la plus grande quantité possible, leur nombre étant restreint par la loi et la FIV étant la seule source légale (et gratuite) en Suisse, d’embryons surnuméraires. Ils n’en auront jamais assez.
VOIR aussi l’interpellation du Conseiller Freysinger qui signale très justement l’absence de toute statitique