Ecoutez bien dans le clip audio (cliquez sur « lire la suite ») la question à la fois franche et naïve d’un auditeur (manifestement maghrébin) de beur FM (émission forum débat) et la réponse du « sociologue » Jean-Yves Camus… La question de l’auditeur est on ne peut plus claire : il demande quelle est la vérité des chiffres de l’immigration en France car quand il était petit, « il y avait un arabe par classe, maintenant il y a un français par classe » ?
La réponse de super-dhimmi Jean-Yves Camus est un magistral noyage de poisson : la question limpide sous-entend que l’auditeur a bien constaté en France une arrivée massive et régulière de populations maghrébines et africaines, et, ajoutons-nous, qui s’accompagne de tous les désordres que nous connaissons : déracinement, conflits culturels, fanatismes divers, violences dans les banlieues, problèmes scolaires…
Mais pas pour le « sociologue » à deux balles Jean-Yves Camus. L’immigration massive, et toutes les évidences qui en découlent, sont prestement évacuées et enterrées en une pirouette verbale autosatisfaite : ils ont la nationalité française, non ? donc ils sont français. Point barre. Question suivante ? D’ailleurs, pour ce clown, l’insécurité est un « fantasme », comme le petit clip audio vous le démontre. La prochaine fois que vous entendrez ce « spécialiste », changez de station…
[youtube]liRUBo1sWd4[/youtube]
« Le fantasme de l’insécurité galopante » : Merci de nous permettre de déguster ce chef d’oeuvre d’aveuglement « savant ». Ce monsieur ne doit jamais sortir de son Bunker climatisé où il fantasme sur la meilleure tactique pour refaire le coup de Munich. »Danger du nazisme : fantasme,imagination, névrose » disaient ses semblables en 1930. Autruches ou cyniques…Sans doute un peu des deux.
Merci encore de votre collecte de ces documents.Il faut les conserver pour les historiens … d’après la guerre,hélas !
Ce gugusse mériterait d’aller voir sur le terrain pour confronter sa théorie au réel. Je serai d’accord pour l’accompagner en voiture avec quelques résistants de nuit dans une banlieue bien pourrie, et pour le laisser afin qu’il puisse interwiewer des djeunes qui sont bien évidemment des anges de douceur et de pacifisme.