Samedi 15 janvier, 200 manifestants homosexuels ont commémoré le 10ème anniversaire du suicide d’Alfredo Ormando place Saint-Pierre, un déséquilibré récupéré en martyr par l’appareil de propagande du lobby homosexuel italien.
Les rares militants on dénoncé l’opposition de l’Église catholique à la reconnaissance juridique des unions civiles. «Plus d’autodétermination, moins de Vatican», «Pacs», «No taliban, no Vatican» furent les effusions de la maigre imagination des responsables sur les quelques calicots brandis à bout de bras comme autant de croix de procession par une poignée d’ultras rassemblés à l’appel de l’organisation de défense des droits des homosexuels ArciGay.
Les manifestants entendaient aussi «protester contre l’ingérence de l’Église», entendre sa liberté d’expression, dans ce débat, a expliqué Franco Grillini, le fondateur d’ArciGay. «Les interventions papales sont quasi-quotidiennes, elles frisent l’obsession» (un peu comme les manifs anti-chrétiennes où ce type d’associations se plaisent à dégorger leur haine et leur refus du droit des chrétiens à exister, vivre et même parler), a-t-il lancé, en ajoutant que «le Parlement doit discuter de ce sujet en toute liberté, sans pressions du Vatican, et décider en toute indépendance comme tout Parlement souverain d’un État laïc».
Le laïcisme comme « remède » à l’existence du catholicisme… Ciel, mais ne serait-ce pas là la marque infamante du rejet, de la discrimination et du racisme… Ah non, suis-je donc sot, ça ne marche que pour les homos et les jihadistes, autant pour moi !