La musique urbaine pourrait être une solution pour attirer les jeunes à la messe et au culte.
«Nous avons déjà organisé plusieurs cultes rap à la demande de nos jeunes paroissiens. Le dernier, c’était le 17 décembre. Il a été retransmis en direct sur la RSR»
L’essentiel étant de rester soudés contre le retour de cette ignoble messe en latin obscurantiste et rétrograde.
« Sursum corda » serait-on tenté de leur répondre.
En quoi des prêtres soutenant gestuelle et intonation agressives peuvent-ils évangéliser ?
O rap pro nobis ?
@Senex
Cela s’appelle un blasphème.