L’Allemagne compte profiter de la présidence de l’Union européenne qu’elle assure jusqu’à la fin juin pour proposer de faire du révisionnisme et du négationnisme de la Shoah des délits dans toute l’Europe mais cette question divise les 27 pays membres.
« Ce qui nous préoccupe, c’est le regain d’activité et d’actes de violence des extrémistes de droite d’un pays à l’autre en Europe« , expliquait début janvier la ministre allemande de la Justice, Brigitte Zypries, pour justifier son projet.