Idéologie et immigration, la mortelle sottise.

L’intelligentsia, les élites médiatiques et la gauche militante veulent se persuader que la souffrance immigrée est tout entière engendrée par la société blanche occidentale. L’immigré valorisé est alors celui qui a « la haine » (…) : casser du flic est présenté comme une entreprise de salut public car les jeunes issus de l’immigration seraient en état de légitime défense. Ils se voient dès lors accorder un droit, si ce n’est à la délinquance, du moins à la « résistance ».

La violence des immigrés est ainsi perçue par le « parti des droits de l’homme » comme légitime : ce serait une contreviolence, de nature politique. Le « parti des droits de l’homme » ne se mobilise clairement pas en faveur d’immigrés réels, mais en faveur d’immigrés rêvés, qui seraient à l’image des enragés de 68, c’est-à-dire des rebelles.