La phrase du jour

Alain Soral parle de son parcours politique et évoque:

[sa] découverte du mensonge trotskiste : monde de bourgeois, le plus souvent cosmopolites, ayant la haine du populo français et n’aspirant qu’à prendre la place de la bourgeoisie de droite catholique pour exercer le pouvoir à sa place, via l’idéologie du métissage et la psychanalyse, là où celle-ci régnait par l’enracinement et le catholicisme

PM

5 réponses à La phrase du jour

  1. Eric dit :

    Dieu soit loué, peut-être pourra-t’on l’inviter à la messe ?

  2. Djihad dit :

    Soral fait un travail remarquable. Dommage que son « carcan de pensée » ne lui permette pas de sortir de l’ornière ultramatérialiste marxiste. M’enfin bon y a besoin de gens comme lui pour parler à ceux qui parlent « sa langue »

  3. Pierre Louis dit :

    Bravo à Soral de redire quelques vérités bien senties.

  4. Ouais, tout à fait. Y’a un truc tout à fait délirant sur Youtube (je crois que c’est « C’est mon choix »), où il lamine une fille de pub… qui, elle, ne s’est manifestement jamais posé la question de ce qu’elle faisait (produisait) réellement pour le bien du monde – à part l’emballage d’un produit.

    J’apprécie aussi Soral, et j’ai eu la chance de l’entendre à Saint-Etienne en 2004. J’ai cru comprendre que l’un de ses discours est que la France, la vraie, celle des petites gens, fout le camp au profit des bobos, qui font flamber le prix du terrain. Il y a également la dictature du beau, du gay et du jeune qui le gonfle, de même que celle du vélo (qui rejoint celle du bourgeois bohème qui vote à gauche).

    Et tout ça… Pour conclure, je recommande à tous la saine vision du film « La Confession d’un dragueur » et des livres qui vont avec: « Sociologie du dragueur » et « La Vie d’un vaurien ». Bien du plaisir! Ca arrache.

  5. bzzzzzzz dit :

    Soral a ecrit des excellents bouquins et ses prestations télé sont souvent sympa par ses remise en cause de la bien pensance. Maintenant, son film « Confession d’un dragueur » n’a vraiment rien de terrible, est vulgaire et peu profond (sorte de Don Juan, mais on est quand meme loin de Molière.

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