Créé par un avorteur professionnel, le docteur Christian Fiala, également président de » l’association internationale des professionnels de l’avortement et de la contraception « , le musée occupera deux salles dans la capitale autrichienne.
Un musée qui se veut « utile » car il prétend lutter pour la défense de la vérité, et participer à la propagation de ce bienfait qu’est l’avortement. Le docteur Fiala regrette que l’on se focalise encore trop sur les « droits du foetus » dans le monde, et que les droits de la femme sont passés sous silence. Selon, c’est la domination des hommes sur la société, mais aussi le colonialisme qui explique ce « retard »… ->
Que de crime on commet en ton nom
Un musée de la mort, en somme.