Fiscalité suisse: Leurs Excellences de Bruxelles tempètent mais tempèrent

La Commissaire européenne aux relations extérieures Benita Ferrero-Waldner a tenté lundi de calmer le jeu dans le différend sur la fiscalité entre la Suisse et l’UE, même si elle a appelé au «respect des règles de la concurrence». Entendre qu’elle veut contraindre la Suisse, de gré ou de force, à s’aligner sur la fiscalité soviétique de l’UE.

On ne s’est pas aligné en 40, on ne s’alignera pas maintenant ! ->

3 réponses à Fiscalité suisse: Leurs Excellences de Bruxelles tempètent mais tempèrent

  1. poeme dit :

    Enfin, voilà la définition de la responsabilité des instances non-élues de l’UE: soyez responsables, taxez!

    Ensuite, que les entreprises et industries, étranglées, se tirent à grandes enjambées, ce sera de la faute à l’autre…

    ça c’est de la responsabilité!

  2. Eric dit :

    « Le gouvernement ne taxe pas pour obtenir l’argent dont il a besoin ; le gouvernement trouve toujours un besoin pour l’argent qu’il reçoit. »

    Ronald Reagan (1911-2004), 40e président américain

  3. foutage de gueule ! dit :

    L’ue, une coalition de 27 pays, préfère harceler sans risque la riche petite Suisse ! C’est moins risqué que de s’opposer fermement au programme nucléaire de l’iran. L’ue a sans doute beaucoup besoin de l’argent Suisse pour reprendre le financement du hamas !

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