… en raison de la complexité du sujet.
« C’est une question très difficile. Je suis pour le respect de la vie, dans la mesure où la souffrance ne rend pas la vie impossible. Il y a des limites à la souffrance humaine. Mais je ne pense pas que cette question se règle par une loi », déclare le candidat UMP à l’élection présidentielle dans un entretien au magazine Femme actuelle paru lundi.
« Comment voulez-vous qu’un texte recense tous les cas de fin de vie? » s’interroge l’ex-ministre de l’Intérieur pour qui cela ne se quantifie pas ». « Un texte ne peut pas donner une liste exhaustive de situations où les cas de fin de vie peuvent s’appliquer », fait-il valoir. ->
S’il s’inspirait un peu plus de l’Eglise (citer les moines de Thibérine c’est bien joli, mais faudrait voir à s’intéresser à ce qui les motivait) et un peu moins de Simone il aurait trouvé les moyens de faire un loi tout à fait adéquate !