Asile: Les réfugiés devront exiger leurs allocs dans une langue nationale

Les réfugiés et les étrangers admis provisoirement risquent d’être soumis bientôt à une «obligation d’intégration». Christoph Blocher veut «forcer» les personnes relevant du domaine de l’asile à apprendre au moins une langue nationale.

Moi, à l’époque, je me suis vu refuser mes allocs chômages à Bâle campagne parce que je causais pas schnik schnak, il y avait bien un tradcuteur mais il ne ne faisait que albanais et serbo-croate… ça ne s’invente pas ! ->

9 réponses à Asile: Les réfugiés devront exiger leurs allocs dans une langue nationale

  1. Eric dit :

    On fait venir des gens pour le plaisir de leur filer du fric ?

  2. Lucky dit :

    Oui, c’est ça, bonjour les magouilles. Les traducteurs ont de beaux jours devant eux !
    Et puis, je suis suisse, je ne sais pas le suisse-allemand, vous me payez le cours svpl ? (6’000.-)
    Ensuite pour les « inciter » à retourner chez eux, hop, 5’000.-, par tête de pipe. Ma maison a été détruite, il faut la reconstruire, hop 10’000.-. Mes parents sont gravement malades, pas d’assurances, il faut les soigner en suisse ! Hop un charter d’affrêter. Je dois revenir en suisse, j’ai reçu des menaces de mort !
    Ce long fleuve qui nous charrie est intarissable. C’est qu’ils s’adaptent très rapidement les bougres (voir la nouvelle loi sur les mineurs criminels.) Ils nous submerge et nous asphyxie.
    Il faut sans cesse adapter de nouvelles lois rapidement, sous peine de s’enliser.

  3. foutage de gueule ! dit :

    « On fait venir des gens pour le plaisir de leur filer du fric ? »

    Non mais dites donc Eric ! de quoi je me mêle ? Ce n’est pas votre pognon ! C’est celui de tous les suisses !:-) Mais sont-ils d’accord ? :-)
    That is my question !

  4. Eric dit :

    Parce que vous pensez que c’est différent en France, cher foutage de gueule ? ;-)

  5. Hans dit :

    @ foutage de gueule

    Je pourrais être d’accord avec vous seulement si le problème été chez nous uniquement, mais comme vous le savez il nous appartient. Il appartient a tous les européens car il y a des refugiées dans tout le continent.

    N’oubliez jamais que dans ce cas et d’autres, nous, les européens, que aimons nos cultures et nos traditions sommes dans la même galère.

    Ce que me dérange dans cet affaire est que il y a pas mal de suisses de souche que sont dans le limite de la pauvreté et je ne vois aucune mesure pour leur aider à s’en sortir. (Merci aux gauchos du CF)

    A mon avis il faut d’abord aider les siens et puis les autres.

  6. Alberto dit :

    Faudra quand même m’expliquer pourquoi le même Blocher s’est toujours opposé à ce que les requérants travaillent pour la collectivité. La raison est simple: il ne veut pas que les choses s’améliorent, parce qu’il perdrait son fond de commerce électoral…. il a donc tout intérêt à créer des solutions qui vont faire des problèmes. Commencez par interdire aux requérants de travailler (alors qu’on devrait les y contraindre !!), être incapable de renvoyer ceux qui sont déboutés, puis les mettre dans la rue en fermant les centres d’hébergement. Une politique d’incendiaire cynique. Scandaleux.

    Elle est belle, la politique de Blocher…

    [MOD: Peut-être que, plus rationnellement, il ne veut pas créer 1. une concurrence déloyale aux travailleurs suisses par une arrivée massive de réfugiés prêts à travailler à moitié prix 2. une situation d’esclavage moderne par une concurrence féroce entre réfugiés cassant les prix (je passe la casse prostitution) 3. une situation inextricable lorsqu’il s’agira de renvoyer chez eux, selon le contrat du droit d’asile, des personnes parfaitement intégrées, payant impôts, loyers etc. La politique peut aussi, parfois, être affaire de raison]

  7. Fred dit :

    Pour Eric: Bien sûr que c’est différent en France. Car ils ont 5,5 % d’étrangers, alors qu’en Suisse nous sommes proches de 21%.

    (source: http://www.lesechos.fr/regions/atlas/atlas_01_08_2004.htm. Et en regardant de près la carte de l’Europe de ce site, on s’aperçoit que la Suisse est, et de loin, l’un des deux pays d’Europe – avec le Luxembourg – où la proportion d’étrangers est la plus forte).

  8. Poeme dit :

    @Lucky: « C’est qu’ils s’adaptent très rapidement les bougres ». Ca nous change de l’habitude. Parce que, traditionnellement, ils ont plutôt de la peine! Sauf bien sûr, lorsqu’il s’agit de pognon….

    @Alberto

    T’as vraiment rien pigé ou quoi? Si ils bossent, pour des salaires nuls bien sûr, on retouvera pleins de manifs avec des profs et des pasteurs pour nous dire combien ils sont intégrés (car ils travaillent) et combien ils sont profitables à notre économie (car ils travaillent). Après cela, comme pour les tamouls, ce sont les petits patrons (pas des grands, comme Blocher) qui se lamenteront et supplieront de laisser vivre ici ces employés si pratiques et si bon marché….et ainsi de suite, et on ne s’en sortira jamais!

    Alors, arrête de délirer sur le prétendu fonds de commerce de Blocher. Lui, fait partie des gens qui ont une vision du monde saine et qui se battent pour y arriver. Contrairement à d’autres glandeurs qui suivent les jérémiades des organisations soit-disant humanitaires (surtout pécuniaires) et les doux courants de la mode du « tout ce qui vient d’ailleurs est meilleur! ».

  9. Archer dit :

    La pauvreté en Suisse

    Selon les décomptes de Caritas, il y aurait près d’un million de pauvres en Suisse (sur 7 millions d’habitants :? ). Les causes sont multiples : faible niveau de formation, mauvais salaires, endettement etc.

    Source journal 20 minutes 8 mai

    Je vais rappeler une chose :

    Chaque année, la Suisse investit environ 1,5 milliard de francs dans la lutte contre la pauvreté et la promotion économique de pays en développement et d’Europe de l’Est.

    Tandis que l’aide humanitaire est fournie partout où il y a urgence, la coopération bilatérale au développement de la DDC (direction du développement et de la coopération suisse) se concentre sur 21 pays et régions prioritaires ainsi que sur des programmes spéciaux et cherche toujours à obtenir des effets durables. En Europe de l’Est, le travail se concentre sur onze pays. Sur le plan multilatéral, la DDC collabore avec des institutions de l’ONU, la Banque mondiale et les banques régionales pour le développement.

    http://www.ddcmali.org.ml/fr/Accueil/La_cooperation_internationale_de_la_Suisse

    XXX de politiciens

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