Doudou Diène, rapporteur spécial des Nations Unies, ne combat pas le racisme ou la xénophobie. Il les amalgame à l’impératif de sécurité et à la défense de l’identité nationale, qu’il interdit .aux seules nations occidentales.
La chronique de Francis Richard
Une bonne chronique, bien que ce ne soit pas un scoop. Il va de soi que les africains cherchent à venir en Europe pour s’y faire de l’argent et si l’antiracisme est une arme leur permettant de continuer à s’y installer, ils ne vont pas se priver de l’utiliser. Jusqu’à ce qu’elle se retourne contre eux, ce qui a déjà commencé.
Certes ce n’est pas un scoop. Ce qui est moins neuf c’est que l’ONU, dont l’un des sièges est à Genève, se permette de critiquer ouvertement et officiellement le pays qui l’héberge avec des arguments qui la discrédite davantage, si c’est possible… Le Conseil fédéral, bien que diplomatiquement (il s’est cru obligé de dire qu’il était regrettable que le racisme existe en Suisse et qu’il remerciait Doudou de ses observations), ne s’est heureusement pas laissé faire par cet olibrius.