La plainte pour calomnie lancée par Soha Bechara, ex-assassin manquée non repentie et aujourd’hui sympathisante du Hezbollah, que le journal Le Monde avait jugé utile de soutenir d’une tartine, a été classée par le Procureur général du Canton de Genève le 12 avril.
Le Procureur motive sa décision d’abord en doutant que Genève puisse être le for de l’action en question, puis en indiquant que la notion de «terroriste» n’a toujours pas de définition précise au niveau international, contrairement à ce que qu’allègue Bechara. Or, en l’absence d’une telle définition, c’est celle du langage courant qui fait foi et le Procureur, se basant sur le Larousse, estime que l’action de Bechara, telle qu’elle la revendique elle-même, «rentre dès lors dans la définition large admise (…), raison pour laquelle l’on ne peut admettre, sous le plan pénal, que les personnes visées dans la plainte aient voulu calomnier» Soha Bechara.
Le Procureur relève également que le prix de la Ville de Genève «Femme exilée, femme engagée» octroyé à Bechara en 2006 «ne l’exonère pas de la responsabilité de l’acte qu’elle a commis en 1988, qui demeure inscrit dans l’Histoire». La suite vaut son pesant de C4. ->
Le Baf se réserve bien évidemment de poursuivre le Monde et Mme Bechara pour discrimination raciale, atteinte à l’honneur et dénonciation abusive.
Le texte de la décision du Procureur général de Genève
Pourquoi Le Monde relaye-t-il la propagande d’une apprentie assassin libanaise ?
J’ai bien voulu voir son visage quand elle a reçu l’information de son avocat. hé hé hé hé
De toute façon il faut attendre quelques jours pour savoir si notre sympathisante du Hezbollah va faire recours comme elle dit dans Le Monde.
Est-ce qu’on peut imaginer cette dame confrontée a 26 demandes de réparation pour tort moral, dénonciation abusive entre autres.
Moi personnellement, j’aurais demandé aussi qu’elle publie dans Le Monde et dans la presse Suisse une lettre d’excuses pour son acte insensée