Francisation de la Suisse: Un homme tente de violer une étudiante en pleine ville

Une jeune femme de 19 ans a été attaquée dans la nuit de samedi à dimanche. La police l’a sauvée.

Elle rentrait tranquillement chez elle lorsque l’individu a surgi derrière elle, profitant de l’ouverture de la porte d’une allée de l’avenue Ernest-Pictet, dans le quartier de la Servette. Agé de 21 ans, originaire du Pérou, l’homme s’est jeté sur la jeune fille. Il lui a mis les mains sur les cuisses, remonté sa jupe. Avant de la projeter contre le mur et au sol.

Par chance, la police est arrivée. Deux gendarmes en patrouille ont en effet remarqué cette jeune fille cheminant seule à 2 h 30 du matin sur le trottoir de l’avenue Wendt. «Par souci d’assurer la sécurité des citoyens, les policiers ont fait demi-tour. Ils sont arrivés juste à temps», constate Philippe Cosandey, porte-parole de la police genevoise, précisant que le quartier de la Servette reste «un secteur difficile du canton». A l’arrivée des gendarmes, l’agresseur a pris la fuite. Il a été arrêté 300 m plus loin, non sans s’être opposé violemment aux forces de l’ordre. L’un des agents s’est fait casser le doigt. ->

La réaction systématique des agents est révélatrice de la réalité de la situation: Jeune fille toute seule la nuit = forte probabilité de viol. En tout cas bravo à ces deux-là.

A Fribourg, juste avant minuit, une jeune charmante demoiselle (non ce n’était pas une fille de joie, je vous vois venir) m’a demandé de l’accompagner (eh oui, j’ai l’air gentil quand je suis rasé et pommadé) sur une des rues principales, à peine plus faiblement éclairée mais déserte à cette heure, du coeur la ville et ce pour faire… 20 mètre. J’ai des amies qui ne prennent plus le train après 19h00. A titre de comparaison, dans les années 50, certains villages valaisans laissaient les étals dehors en raison de l’absence totale de criminalité. A ces demoiselles, un petit conseil: en cas de pépin, ouvrez votre sac à main, faites le mouvement de charge, tirez dans les genoux, demandez-lui ce qu’il veut; dans l’ordre.

2 réponses à Francisation de la Suisse: Un homme tente de violer une étudiante en pleine ville

  1. Marc dit :

    Pourquoi parlez-vous de « francisation » ? Je n’y vois que de « l’ensauvagemment », à l’instar de ce qui se passe en France, ce n’est pas tout à fait la même chose…

    « tirez dans les genoux »
    Pourquoi dans les genoux ? Si une ordure tente de violer une personne et se prend de la grenaille dans les joyeuses, il risque de ne plus l’être, joyeux…

    [MOD: Je m’adressais à des femmes, pour qu’elles tirent droit, il faut toujours dire de tirer à côté… oups ;-P]

  2. Ouais, avec un titre comme ça, j’avais l’impression qu’on voyait débarquer en Suisse des hordes de Français pas civilisés…

    Quant à tirer dans les genoux, cela vise un objectif proportionné: immobiliser le délinquant sans pour autant le tuer (ce qui est plus gênant à défendre face à un tribunal, même en alléguant la légitime défense et même si vous pensez qu’il l’a vraiment mérité). Or, tirer dans les roustes, ça peut vous envoyer un type ad patres.

    [MOD: Oui mais en conseillant de tirer dans les genoux par légitime défense et que la nénette le dessoude, comme blogger incitateur vous prenez une tapette sur la joue de la part du juge de paix… Hum, on dérape. je récapitule, la violence c’est pas bien mais se défendre c’est légitime. Il est évident qu’il ‘s’agissait d’une plaisanterie, mesdemoiselles tirez en l’air, en rythme, ça donnera la cadence à votre agresseur.]

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