Mgr Barbarin: « lorsqu’un chrétien vote, il pose un acte devant Dieu »

L’archevêque de Lyon Philippe Barbarin affirme qu’un chrétien pose « un acte devant Dieu » en votant, et relève que celui-ci ne doit pas « favoriser l’avortement ou l’euthanasie, le mariage homosexuel (…), le rejet des immigrés« , dans l’hebdomaire Famille chrétienne à paraître samedi.

« Pour nous, tout acte humain doit avoir sa dimension spirituelle, être éclairé par la foi: l’acte politique du vote comme les autres engagements de notre vie. (…) Lorsqu’un chrétien vote, il pose un acte devant Dieu« . ->

3 réponses à Mgr Barbarin: « lorsqu’un chrétien vote, il pose un acte devant Dieu »

  1. verleyen dit :

    Si vous vouler ètre honnète avec vous-mème,et que vous lisssez l’ evengile, Dieu ne condanne pas les hommosexsuels mais Dieu n’ aime pas se qu’ ils font; et il vont contrela natur; Dieu a crée l’ homme et la femme,si celà n’ étaie pas pas bon il n’ aurrai crée que les hommes.

    Début Genèse, et « Dieu pris une côte d’ Adam pour crée sa compagne Eve, »..donc il y a insulte à Dieu notre créateur; IL comprend le boulversement intérieur des plaissures des homosexsuels, mais Jésus est vennue pour les guérir ;moi- mème j’ aie étée abusée ,se n’ est pas pour celà que je renonse à ma vraie idenditée en tent que femme.

    ET pour Dieu si ceux qui on étées abusés ne se repentissent pas de l’ insulte qu’ ils font à Dieu , IL n’ y aurra aucune place auprès de LUI; souf si on se repentent ,car celà est péché Dieu pardonne les pécheures ,mais IL n’ aime pas se qu’ ils font!…c’ est de la pervertion ; il feaud simplement remaitres votres blaisureà Jésus LUI en parler et déposer votre fardeau!… ,et pardonner ceux qui vous ont blaissée;et prendre sur soie avec la Grace de Dieu, de s’ accepter t’ elle que nous somme né avec le sexs que Dieu a donné. Je vous aime les homosexsuels commme Dieu vous aimes. A faire suivre aussi a Laurent madoo que j’ aime!…

    [MOD: Dieu ne condamne pas l’homosexualité qui, en soi, n’est pas une faute puisqu’elle ne relève pas stricto sensu de la volonté (par homosexualité j’entends une éventuelle déficience de la nature qui empêcherait de reconnaître l’autre sexe comme destinataire de la sexualité ou attirerait vers le même sexe), mais condamne les actes éventuels conséquents à l’homosexualité, soit la sexualité homosexuelle, la sodomie, l’impureté… La Bible et les Evangiles en particuliers sont remplis de condamnations très claires de tout acte contraire à l’économie d’un amour constructif et créateur. Il faut définir ce dont vous parlez avant de nous jeter la pierre. Nulle part vous ne verrez ici une condamnation des homosexuels, ou de quiconque d’ailleurs, pour ce qu’ils sont.

    Le reste de votre discours est difficilement compréhensible.]

  2. verleyen dit :

    Monsieur,
    Entre se que j’ aie écrie ,je ne vous aie pas jeter la pierre,désolée mon françaie ,est pas parfait du tout!…

    Se ci dit ; je désirrai simplement bien faire comprendre,que Dieu aime les homosexuels; mais rien des actes sexuels qu’ ils possent en tordent les régles établie celon la natur de Dieu; qui a crée l’ homme pour la femme; si l’ on a été abusé dans son enfance;Jésus es venue pour guérir ,et consolé ceux qui on étés, abusés ,moi -mème j’ en fait partie, et la solution n’ est pas de se tourné ver le l’ homosexualité, mais de reconnaitre notres blaissure, et accepter de vivre une vie, comme établie par Dieu; tout se qui va à l’ encontre de la nature, insulte Dieu!…comme si IL avaie mal crée LUI mème;et que sa créatur, se permaite de changer les lois naturel de la nature; entre géré et prendre soing ;il y a une diférence.

    De plus je m’ en prennait pas à vous en rien!…;veuillez m’ escusser .

  3. Denis Merlin dit :

    Permettez-moi de ne pas trouver le texte du cardinal Barbarin si intéressant. Il veut faire passer son idéologie mondialiste et antinationale pour la morale chrétienne, pour cela il n’hésite pas à trahir la pensée de saint Augustin et à surcharger les électeurs d’obligations qu’ils n’ont pas.

    A part la protection de la vie depuis l’utérus jusqu’à sa fin naturelle, je ne suis pas d’accord avec ce que dit notre cardinal qui joue de l’angoisse, car il est bien évident que si l’on se trompe de bonne foi dans son vote, ce ne sera pas la fin du monde, ni la damnation assurée.

    D’autre part la survie de la civilisation occidentale et de notre patrie doit être une préoccupation constante du chrétien soucieux de respecter le quatrième commandement et, en ce qui concerne la civilisation occidentale, du bien de l’humanité entière (voir sur ce point le discours de Ratisbonne du 12 septembre 2006 de Benoît XVI) On ne peut donc’envisager ces disparitions d’un ton badin, comme si seul le surnaturel et le spirituel comptaient pour le croyant.

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