Les moines de Tibhirine : au cours de la nuit du 27 au 28 mars 1996, sept moines du monastère cistercien N.-D. de l’Atlas en Algérie furent enlevés par des islamistes fondamentalistes. Leur enlèvement fut revendiqué par la faction radicale du G.I.A. (Groupe Islamique Armé). Le G.I.A. annonçait qu’ils avaient été exécutés le 21 mai. Les sept frères pris en otages et assassinés étaient tous de nationalité française [détails]
PM
Qu’en pense le président de l’organisation islamique de Suisse Hisham Maizar?
Qu’en pense le Cheik Khaled Bentounés de l’association internationale de soufie Alâwiya en congrés à Lausanne,dénonçant l’initiative populaire fédérale « contre la construction de minarets » ?
le tout appuyé par des menaces!
Voici une information sur un livre qui traite de l’assassinat des Moines de Tibhirine, livre qui apporte des éléments nouveaux dans cette affaire non encore élucidée.
Un journaliste français peut-il perdre la vie en France dans des conditions douteuses sans que cela crée un débat public ?
Il semble que oui, puisque Didier Contant, qui enquêtait sur l’assassinat des sept moines de Tibhirine, fut retrouvé mort en 2004 sans que les médias s’interrogent sur les raisons de sa mort.
Seul Marianne s’en fit l’écho, en qualifiant sa mort d’ « étrange suicide ». Mais ce n’est pas tout.
En février 2007, la compagne de Didier Contant a publié un livre, intitulé « Le Huitième Mort de Tibhirine », qui démontre qu’il ne s’agit pas d’une mort que Didier Contant souhaitait.
Antoine Sfeir, dans la préface de ce livre, explique en quoi cette mort arrangeait beaucoup de monde, et appelle à l’ouverture du débat public sur la mort de ce journaliste.
Une fois encore, seul Marianne en a parlé, ainsi que Radio-Notre-Dame et des médias algériens, puisque le sujet les concerne directement. Cette omerta médiatique est-elle plus longtemps tolérable ?
Pour en savoir plus, voici le blog du livre, qui est régulièrement mis à jour par son auteur, Rina Sherman : http://8e-mort-tibhirine.blogspot.com/
Cordialement
Les éditions Tatamis
Paix à leurs âmes.