Certains membres du gouvernement et de la Commission nationale des Droits de l’homme ont engagé des poursuites devant la Cour suprême de Mexico à l’encontre de la loi adoptée par le parlement de la ville autorisant l’avortement jusqu’à 12 semaines.
D’après eux, cette loi viole la constitution du pays dans laquelle est inscrite la protection du droit à la vie. Par ailleurs, l’assemblée législative de la ville de Mexico ne disposerait pas de l’autorité nécessaire à l’approbation de mesures liées à la santé. ->