Des nouvelles de Robert Redeker

Robert Redeker, le professeur de philosophie qui avait été menacé de mort pour une tribune critique envers l’Islam a indiqué qu’il vivait, neuf mois après la publication du texte, « une vie de réfugié politique dans son propre pays« .

Pour lui, cette situation due aux menaces de mort l’oblige « à être prudent dans (ses) déplacements, à habiter une maison dont personne ne connaît l’adresse, à devenir méfiant« .


Redeker ajoute qu’il lui a fallu « enterrer (son) père comme un voleur », marier récemment sa fille « sous surveillance policière » ou déménager et acheter une nouvelle maison dans la région toulousaine.Sur le plan professionnel, après avoir cessé d’enseigner et accepté une proposition de l’ex-ministre de l’Education nationale Gilles de Robien de travailler en liaison au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), M. Redeker indique qu’on a créé une unité de recherche dont il est le seul membre.
« Sans bureau, sans adresse, sans confrères », précise-t-il en ajoutant « je suis chercheur dans un laboratoire fantôme ».

Et merci aux politiques, à leur 40 années d’immigration sans frein, et aux tolérants de tout poil qui ont permis d’importer en Europe les archaismes morbides de sous-cultures psychotiques.
[source] – PM

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