Genève: les squatters du Rhino déboutés par la justice

Le Tribunal de première instance de Genève a refusé de prononcer des mesures provisionnelles dans l’affaire du squat Rhino. Les squatters avaient demandé d’interdire au propriétaire de rentrer dans l’immeuble tant qu’un jugement d’évacuation ne serait pas rendu. ->

5 réponses à Genève: les squatters du Rhino déboutés par la justice

  1. Tintoun dit :

    Dommage que je ne me souvienne pas du nom du torchon officiel qui nous disait en France qu’à Genève se trouvait un squatt ou reignait la paix et l’harmonie dans la joie et l’allégresse.

    Merci pour votre résistance à la désinformation.

  2. lumière dit :

    Moi ce que je trouve hilarant c’est que les gogos du squat demandent au proprio de respecter la loi alors qu’eux mêmes n’ont aucune base légale pour parasiter les lieux… A une époque où Genève vit une crise aigue du logement c’est tout simplement honteux de laisser une bande de sinistres gauscistes drogués s’approprier des biens qui ne sont pas les leurs…

  3. Catherine dit :

    La Suisse a certainement le courage que la France a depuis bien longtemps perdu.
    Hélas !!

  4. Nicolas dit :

    N’est-il pas paradoxal qu’un exécutif gauchiste en suisse soit plus courageux que des politiciens français de droite? Contrairement aux dires de Sarko, les effets de mai 68 sont-ils encore si tenaces dans l’hexagone?

  5. Lucky dit :

    En suisse, comme en france, la gauche semble larguée et en bout de course ! On ne peut pas, des années durant, continuer à faire de l’obstruction à tout et pour tout, avec toujours la même argumentation.
    La couleuvre est trop longue à avaler. Là, ils sont en train de payer gentiment l’addition. Genève ne faisant plus abstraction à la règle et c’est très bien.
    Car à force de mauvaise foi évidente, ils ont été rattrapés par la réalité des chiffres et statistiques criminelles, réelles.
    De plus, Genève de par son statut est un vrai paradoxe, politiquement incompréhensible, intenable et totalement artificiel.
    Ce n’est que le début de leurs déboires, ils risquent de boire la tasse jusqu’à la lie. Personne ne s’en plaindra.

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