TSR: Pour l’OSAR, les demandes d’asile sont traitées de manière précipitée depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi votée l’automne dernier. Les refus seraient excessivement nombreux. L’office fédéral des migrations rejette ces critiques.
Tout sauf la volonté populaire quand elle n’est pas à l’extrême-gauche.
Un immigré qui entre, c’est un suisse qui souffre.
Les sociaux, (gauche) s’inquiètent surtout pour leur JOB, c’est bien connu !
Bravo Eric!En une seule phrase toute simple, tu arrives à résumer un problème complexe, au centre du débat politique. En extrapolant, la solution est peut-être simplement « Un immigré qui sort, c’est un Suisse qui respire ». à méditer…
Je trouve par contre quelque chose d’illogique dans le raisonnement de Lucky : si les gauchistes s’inquiètent pour leur JOB, ils feraient mieux de freiner l’immigration, sans quoi un jour ou l’autre ils se le feront piquer par un immigré. à méditer également…
Non, car ces immigrés là, sont des gens qui sont « trimbalés » d’un coin à l’autre ou, d’un canton à l’autre et n’ont, ni les papiers, ni la formation juridique et linguistique nécessaire pour ce JOB.
Dans les centres de requérants, combien d’employés ? Entrez, regardez et vous verrez.
Pas folle la guèpe !
Pourquoi un immigré n’aurait-il pas plus de papiers, de formation ou autre que toi?