Depuis quand n’a-t-on pas le droit de combattre des terroristes?

Cette question, plus d’un/e Suisse/sse sur deux mérite de se la voir poser, à en croire une enquête commentée ce matin notamment dans Le Temps. Outre plusieurs résultats indiquant une recrudescence des «sentiments anti-juifs», on y trouve en effet une perle fort révélatrice sur la confusion régnant dans les esprits à cet égard. –>
AJM

5 réponses à Depuis quand n’a-t-on pas le droit de combattre des terroristes?

  1. zen dit :

    Les ressentiments anti-juifs… C’est comme l’islamophobie ou les ressentiments du chien pour le tique.

    [MOD: Inexact, les Juifs sont de personnes, l’islam une doctrine; ne pas tout mélanger]

  2. Zen dit :

    Ouais si vous voulez.

    La culpabilisation est un processus tellement subjectif que ce n’est rien d’autre qu’une forme comme une autre de manipulation et donc une arme.

    J’ai eu mainte fois l’occasion de lire des messages de Juifs se plaignant « d’antisémitisme », alors que dans d’autres, ils ne se cachaient pas de « ne vouloir rien laisser dans ce pays (la France) et d’être fier d’être « arrivé pauvre dans un pays riche et reparti riche d’un pays pauvre ».
    Il est d’ailleurs étrange de voir qu’ils étaient communistes en arrivant pauvres d’ Europe de l’Est, histoire de pouvoir en récupérer le maximum sans doute, alors que maintenant ils sont sarkozistes, pour en donner le moins possible.
    Sans parler des licras et compagnie, qui nous bouffent sur le dos et nous compliquent la tâche.

    Bref, juifs, musulmans, que tous repartent dans leurs pays.

  3. marie dit :

    @zen

    et toi si tu pars au Tibet, c’est promis on t’en voudra pas!

  4. Zen dit :

    Eh « marie » t’es sur que c’est ton prénom ?

    On vous reconnait rien qu’à vos prétentions.

  5. Zen dit :

    D’ailleurs on cite souvent De Gaulle à l’encontre des immigrés et des musulmans.

    Comme il disait « Quand une communauté se plaint du racisme, c’est qu’elle n’apporte que de mauvaises choses. Si elle apporte de bonnes choses, tout le monde lui ouvre les bras. »

    Ce qui est valable pour les uns avec le racisme, l’est pour les autres avec « l’antisémitisme ».

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