Il n’est pas de jour qu’une plainte pénale ne tombe sur un infortuné qui a dit une phrase, ou commis une image, de travers.
L’article 261bis du Code pénal, qui réprime la discrimination raciale, a longtemps été d’un usage discret et modéré. Aujourd’hui, il est devenu l’instrument d’un véritable harcèlement antiraciste.
Les lobbies et associations qui luttent contre le racisme ont opté depuis quelques temps pour une tactique agressive et très active, scannant d’un oeil d’agent de la Stasi les publications et les images, pour y trouver matière à lâcher leurs avocats. ->