Les islamistes d’Ecosse

Vous n’avez peut-être pas suivi l’affaire Mohamed Atif Siddique, du nom d’un étudiant musulman écossais. Ce représentant de la diversité britannique a été reconnu coupable par un tribunal écossais de plusieurs infractions à la loi antiterroriste pour lesquelles il encourt jusqu’à 15 ans de prison.

Siddique a été jugé coupable par la cour de Glasgow pour « détention et diffusion de documentation liée au terrorisme, incluant des CDs, des vidéos sur le maniement des armes, les tactiques de guerilla, la fabrication de bombes, le tout dans le but d’encourager une action terroriste ».
Il avait par ailleurs ouvert des sites internet redirigeant vers des sites de techniques militaires, d’armes piégées, ou de fabrication de bombes et faisant l’apologie du terrorisme. Il a également été condamné pour avoir déclaré à des étudiants proches de lui qu’il voulait commettre un attentat suicide et mettre des bombes dans Glasgow. Finalement, il est soupçonné d’avoir montré à d’autres étudiants des images d’attentats-suicide ou de décapitations par des terroristes.

Lors du procès, qui a duré près de quatre semaines, l’accusation avait estimé que le jeune homme était un «kamikaze en puissance». Bref, un coranisé maboule de plus.

Mais le présent article fait suite à la publication d’une interview de la famille de ce partisan de la religion de paix et de tolérance. Prenant sa défense, le père se répand dans les pages du Scotsman, le grand journal écossais :
« Mon fils n’a rien fait de mal. Il a fait ce que font des milliers d’autres musulmans ordinaires. »
Vu son palmarès, nous voilà totalement rassurés sur les intentions pacifiques des musulmans…

Le journal nous apprend d’ailleurs que le jeune homme d’origine pakistanaise était juste « devenu obsédé par l’islam », qu’il avait une barbe de trois mètres, voulait interdire à son père de vendre de l’alcool, avait des contacts avec « un agent recruteur d’Al Qaeda » lui-même lié à un groupuscule cherchant à faire sauter des bombes au Canada et à décapiter le 1er ministre canadien. Babioles que tout cela !
« On sait bien, nous, que ce n’est pas un terroriste » déclare la famille d’un seul élan.

« Je n’ai rien fait de mal » aurait pleurniché l’apprenti-terroriste quand douze militaires en tenue de combat ont fait irruption en pleine nuit à coup de bélier pour l’arrêter dans son lit.

Le père n’est pas content : « Notre maison n’est plus un foyer. Elle a perdu son âme. Et ils m’ont pris mon fils. Tout cela a détruit notre vie ». ->

Nous sommes au bord des larmes. Il y a des coups de pied au coran qui se perdent… PM – trouvé ici