La république islamique française est en marche

La Fondation des oeuvres de l’islam de France a été officiellement installée. Cet organisme, reconnu d’utilité publique devrait aider à la construction des mosquées et au financement de la formation des cadres religieux.

Le ministère de l’intérieur ne cache pas son ambition de parvenir à un maillage organisé du territoire concernant les constructions de mosquées. A l’heure actuelle, le ministère de l’intérieur estime qu’un lieu de culte musulman ouvre chaque semaine.

• Une circulaire ministérielle incitera les maires à prévoir dans leurs documents d’urbanisme des espaces réservés aux mosquées.
• Les préfets devront organiser une concertation entre les maires et les représentants de l’islam. En cas d’échec, le préfet devra «saisir le juge administratif de manière systématique.
• Le Code pénal sera modifié pour qualifier du délit de discrimination le refus des maires de financer ou d’octroyer un permis de construire aux mosquées ou de préempter pour empêcher l’installation d’un lieu de culte. ->

Ces dispositions sont directement inspirées du rapport Machelon du 20 septembre 2006 dont nous vous rappelons ici l’essentiel en bon français :

Les dispositions du rapport Machelon font purement et simplement passer l’identité française au « broyeur multiculturel ». Le rapport établit en langage énarchique que :
• l’islam est décrit en phase de « rattrapage » et doit être aidé financièrement par l’état français. Selon ce rapport, il n’y a tout simplement pas assez de mosquées en France.
• Ces mosquées seront imposées de force, et s’il le faut, la loi sera modifiée en conséquence.
• Les maires récalcitrants seront d’abord sermonnés par le préfet, puis trainés au tribunal administratif s’ils ne cèdent pas.
• Les communes seront contraintes par la loi au financement des futures mosquées, avec menaces de sanctions pénales, et menaces de chasse aux sorcières pour « discrimination ».
• Une association quelconque pourra se définir comme « cultuelle » et bénéficier des avantages qui y sont liés.
• D’ailleurs, si c’est insuffisant, la préfecture AIDERA les assocations à modifier leurs statuts pour mieux récolter les fonds publics.
• Le rapport reconnait certaines spécificités de la culture musulmane mais c’est le régime juridique français qui DEVRA S’ADAPTER et non l’inverse
• Les activités cultuelles seront reconnues d’utilité publique, ce qui permet de bénéficier d’un financement supplémentaire de l’état. ->

Ma valise est prête – PM