L’affaire avait fait grand bruit en 2006, quand policiers et services vétérinaires avaient débarqué dans cette ferme du chemin de la Vitarelle. Qui servait de lieu d’abattage pour les moutons sacrifiés lors de la fête de l’Aïd El Kébir.
Dix-huit mois après les faits le prévenu était cité hier matin à la barre, pour toute une série d’infractions sur les cadavres d’animaux, transports etc. Partie civile une association : « L’œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoir » réclamant même 1500€ de dommages et intérêts.
Le retraité de l’agriculture qui vendait chaque année des moutons aux Musulmans du Tarn-et-Garonne avait décidé de passer la vitesse supérieure. En proposant à la vente et à l’abattage dans sa cour une soixantaine de bêtes (cette année-là à titre comparatif on en sacrifia seulement 42 à l’abattoir municipal de Montauban). (…)
Inutile de rédécrire les conditions d’égorgement même avec les sacrificateurs religieux et les traces laissées. ->
Rainbird