La Bourse internationale aux armes (du 7 au 9 décembre) tolérera toujours la présence d’objets historiques liés au nazisme. Celle de Lucerne ne le permet plus depuis cette année.
«Il n’y a rien dans la loi qui l’interdit, du moment que c’est un objet original», explique Robin Zander. Le président de la Bourse lausannoise acceptera donc à Beaulieu les stands qui exposent et vendent aux collectionneurs du matériel historique à croix gammée «que l’on trouve dans les musées». ->
Et les chapka de l’armée rouge, on en fait quoi ?