France : une armée islamiquement correcte

A Saint-Cyr, on envisage la mise en place d’un système inspiré de celui de Sciences-Po et de ses conventions avec des lycées de zones d’éducation prioritaires. «L’objectif c’est de pouvoir appeler un jour le général Ben Babrouf ou le colonel Mohamed !» ->

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Un jeune officier parachutiste raconte que, dans son unité, les JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine, dans le langage militaire) passent leurs journées au foyer à boire de la bière en regardant des films pornos et qu’à la moindre réflexion, ils adressent au chef de corps un rapport dénonçant le racisme de l’officier qui, convoqué par le colonel, est obligé de revenir sur la sanction. ->

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Dans la Marine, les officiers n’oublieront pas de si tôt la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch. Une soixantaine d’engagés volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage leur officier. Après s’être retranchés 2 jours dans la cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un commando de fusiliers-marins.Ces beurs réagissaient contre une punition collective infligée à la suite d’une rébellion survenue lors d’une mission au large de la Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.->

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L’aumônier musulman en chef des armées françaises (si,si ça existe) prépare l’organisation du prochain pèlerinage à La Mecque pour une quarantaine de soldats et une équipe d’aumôniers. Le projet lui tient particulièrement à coeur . ->

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« les JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine, dans le langage militaire) commettent 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages à supérieurs et 8 fois plus d’insoumission ->

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Un rapport du Ministère de la Défense de janvier 2007 évoque « l’attitude intransigeante et revendicative tournant à la provocation » des JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine) et de « la surdélinquance au sein même de leur régiment. » ->

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Et s’il y avait un conflit entre la France et l’Algérie ? Aïcha, attirée par l’armée, ne s’imagine pas faire la guerre contre les siens : “Dans ma tête, je suis algérienne, je ne me sens pas française. Pour moi, l’armée c’est pas le fait de se lever pour une nation, c’est découvrir un métier. » ->