De source proche du dossier, le professeur suspendu n’a jamais prononcé les phrases écrites dans Spectrum, le journal étudiant de l’université de Fribourg, lequel avait fait la part belle, à deux ans d’écart, aux accusations d’une militante homosexuelle.
Cela voudrait-il dire que les militants LGBT n’hésiteraient pas à user de mensonges pour faire avancer leur cause ? Cela paraît invraisemblable.
NM