Vous cherchiez un crime plus lourd, une faute plus grave que tous les crimes contre l’humanité réunis, le Conseil d’Etat valaisan vient d’inventer l’interdiction du pot de départ. Les Nations-Unies sur le qui-vive.
Une décision dont l’opportunité interroge, à l’heure où les vignerons valaisans peinent à écouler 60 millions de litres surnuméraires, mais qui rassure quant au sens des priorités du Conseil d’Etat. « C’est dommage« , explique, Jean-Machin Truc, vigneron à Savièse, « on compte sur les fonctionnaires pour écluser les 2/3 du surplus pendant les heures de bureau. Maintenant, si même le gouvernement interdit de boire, c’est l’économie entière du pays qui est fichue« .
La clique qui fait profession d’exploiter le pouvoir n’a décidément que ça à f…
NM