Dix jours après la réforme des lois sur le viol et l’adultère au Pakistan, le risque est grand d’un revirement de situation. Les chefs religieux pakistanais ont dénoncé ces réformes comme contraires à l’islam, immorales, inconstitutionnelles et signe d’une « infiltration des valeurs occidentales ». Et en réponse, le premier ministre à autorisé la négociation avec les dingues du Coran.
La réforme avait été acclamée par les association de défense des femmes mais avait déclenché la fureur des fondamentalistes. Le puissant parti d’opposition, le très islamiste MMA, a menacé de renverser le gouvernement, qui considère donc sérieusement un retour en arrière.Les négociations se sont ouvertes après deux jours de déchainement hystérique dans les mosquées de tout le pays.
Les changements prévoyaient que les plaintes pour adultère ou pour viol seraient désormais jugées selon le code pénbal en vigueur plutot que par une obscure sharia imposée en 1979, et qui stipule que 4 témoins masculins doivent attester du viol
« …une obscure sharia imposée en 1979, et qui stipule que 4 témoins masculins doivent attester du viol »
Et ces 4 témoins sont-ils censés avoir tenu la chandelle, ou participé à la « tournante » ? Quelqu’un est il au « coran » ?