La Confédération se fait représenter aux « Jungle Gay party » du MAD…

Il est bien entendu que l’une des préoccupations majeures  de la Confédération en ce début de XXIe siècle reste la fragilité des préservatifs au contact de la mousse diffusée dans certaines discothèques; étant donné qu’il est considéré comme parfaitement normal de faire sa petite affaire en public, au mépris de la loi, très en dessous du niveau de l’amer… ->

Il s’agit de veiller à ce que la communauté homosexuelle de Suisse puisse s’adonner aux pratiques à risque en toute exagération et sans la moindre mesure et que la sanction naturelle puisse continuer à être considérée comme une fatalité injuste, voire réactionnaire, mais qui a le sérieux avantage d’assurer chaque année la rentrée de plantureuses subventions… Maintenant vous savez à quoi peuvent bien servir vos impôts…

Ce que l’OFSP appelle chastement « Jungle Mousse » se dénomme en fait « Jungle Gay » party, littéralement, la fête du gai de la jungle… le bon sauvage, Rousseau aurait adoré !

Illustration documentaire (supprimée par l’éditeur): Un jeune homosexuel à l’oeil mutin ouvre un emballage de préservatif avec les dents, pratique à risque n°1 et qui en dit long sur les dispositions prévues par les organisateurs en vue du respect de la loi (art. 187 à 200 CPS), et sur le souci de la santé de leurs clients. Santé bien évidemment à charge de la bonne petite famille UDF qui se prive de boire et de fumer pour que d’autres puissent s’adonner à l’excès en toute liberté sans que cela coûte trop cher à l’Etat. Il va de soi que les conséquences de ce genre de « partie sauvage » sont à comprendre dans les priorités de l’asurance de base…