Du soleil, des enfants, des parents mais peu de politiciens pour cette nouvelle édition de la Marche Blanche de Fribourg. "Peur d’être vu", relève Evelyne Balmat, membre du comité d’organisation, "il y a encore beaucoup de tabous et beaucoup de personnes ont peur de se montrer". "C’est difficile de passer par-dessus les peurs, surtout la peur de s’exprimer".
-> La file d’attente des petits Fribourgeois devant le château gonflable. La présence de nombreuses familles a été la force de cette journée.
La Marche Blanche n’a pas peur et continue son indispensable combat. Prochaines dates à retenir: 1er octobre à Lausanne et Genève; 19 novembre, journée de récolte des signatures.