Rudolf Merz fustige le Parti socialiste, qui s’approprie l’AVS. Pour lui, l’initiative de la gauche ne résoudra en rien les problèmes à venir de l’assurance. Bien au contraire. Elle menacerait les finances publiques.
Rudolf Merz fustige le Parti socialiste, qui s’approprie l’AVS. Pour lui, l’initiative de la gauche ne résoudra en rien les problèmes à venir de l’assurance. Bien au contraire. Elle menacerait les finances publiques.