Ben tiens: Assistance au suicide: la surveillance doit être renforcée

La secte fanatique qui préconise l’euthanasie des enfants et qui, accessoirement, nous sert de Commission nationale d’éthique (CNE), fait un pas en arrière, reculant sans doute devant les horreurs qu’elle promeut au parlement depuis des années. Elle veut à présent renforcer le contrôle de l’Etat et s’assurer que l' »assistance organisée au suicide » est bien réservée à des personnes endurant de graves souffrances liées à une maladie, et non pas à tous les nostalgiques des sixties en mal d’hormones de jouvence et autres touristes britanniques en manque d’émotions fortes.

L’argumentation vaut son pesant de cadavres séniles: Il s’agit de « renforcer la protection de la vie » (manquent pas d’air !) et de soutenir les individus tentés par le suicide face aux pourvoyeurs de coktails lithiques:

« En Suisse, le cadre légal permet à des organisations d’assistance au suicide d’offrir leurs services. Il s’agit donc de veiller à ce que ces organisations ne s’appuient pas excessivement sur le principe de la libre détermination du suicidant au détriment du principe de protection de la vie et du soutien à apporter aux personnes suicidaires.

Selon la commission, l’assistance au suicide ne peut être envisagée que si le désir d’en finir avec la vie découle d’une grave souffrance liée à une maladie. Cette assistance ne doit pas être offerte si le désir est généré par une crise passagère, constitue le symptôme d’une maladie mentale ou résulte d’une pression extérieure. Première nouvelle !

Dans sa prise de position, la commission définit également les critères permettant d’évaluer le désir de mourir et la capacité de discernement du suicidant. Elle insiste en particulier sur la nécessité d’effectuer plusieurs entretiens personnels et de requérir un second avis. A ses yeux, une évaluation basée sur un échange de correspondance n’est pas acceptable sur le plan éthique.

Correspondance… Des inquiétudes qui donnent un léger aperçu de la façon dont les choses sont pratiquées par les « majors » du business de la mort donnée.

Il est évident qu’il y a pression et que le discours d’ange de la mort, lénifiant, défaitiste et culpabilisant d’un « Dr » Sobel donne envie à n’importe quel être normalement constitué de se flinguer. Il devient urgent d’arrêter ces fanatiques du marché de niche des colombariums.

Prise de position complète

Communiqué

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *