Le réveil amer de la pilule du lendemain

La pilule était considéré par ses promoteurs comme un élément réducteur du taux d’avortements, alors qu’en réalité rien ne prouve la véracité d’une telle affirmation.

D’après le compte-rendu de 23 études menées sur divers types de « contraceptifs d’urgence », publiée par la revue Obstetrics and Gynecology, dans son édition du mois de janvier, il n’existe aucune preuve démontrant que l’utilisation de la pilule réduise les taux de grossesse ou d’avortement.

En relation à cet article, le Washington Times a informé, le 8 janvier dernier qu’en 2005, les chercheurs du Guttmacher Institute, une entreprise de recherche liée à l’institut Planned Parenthood pour l’avortement ont publié un rapport affirmant que l’utilisation de cette pilule ou d’autres « contraceptifs d’urgence », a permis en 2000 d’éviter 51.000 avortements.

Ce type d’arguments continue d’être soutenu. « L’opportunité d’élargir l’accès à la contraception et en particulier de mettre sur le marché la pilule du lendemain devrait être évidente », avait écrit Nicholas Kristof dans son éditorial apparu sur le New York Times du 2 mai dernier.

Le mensonge continue pour d’évidentes raisons de… marché. Silence, on tue !

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1 réponse à Le réveil amer de la pilule du lendemain

  1. ajm dit :

    La pilule du lendemain n’est pas un système contraceptif: lorsqu’elle fonctionne, elle tue. C’est un avortement pratique. Cela aide les femmes à s’habituer à cette idée. Donc elles avortent ensuite plus «aisément», ou du moins avec la notion vague mais solide, car socialement admise, que cela est normal. C’est une anesthésie de la conscience. C’est une mauvaise drogue de l’âme.

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