Avortement et objection de conscience

Pour le docteur Simon, « l’objection de conscience est un dernier recours pour ne pas se voir impliquer dans des actes que l’on répugne à commettre ». Or, « il est très rare de trouver un pays d’Europe, pourtant soi-disant démocratique, où les gynécologues aient la possibilité de se former sans devoir pratiquer d’avortements ».’est évidement le cas de la France. L’avortement étant inscrit à la nomenclature des actes médicaux, un étudiant en gynécologie ne peut se soustraire à l’apprentissage de cet « acte médical », pour des motifs éthiques. ->

1 réponse à Avortement et objection de conscience

  1. alain dit :

    Attention l’orthographe de conscience…. Salut

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