Genève – «Il s’agit de licenciements économiques. Rien de plus.»
L’avocat de la Fondation culturelle islamique, qui souhaite garder l’anonymat pour le moment, réagit à la suite des critiques émises à l’encontre du nouveau directeur de la Mosquée, qui a licencié quatre collaborateurs la semaine dernière. «Ces décisions n’ont rien de politique». ->