Près de six semaines après avoir licencié quatre de ses employés, la Mosquée de Genève sort publiquement de son mutisme.
Son avocat Me Ridah Ajmi révèle les raisons ayant poussé l’institution à se passer des services de personnalités comme le porte-parole Hafid Ouardiri ou le dirigeant Mahmoud Fadl.
D’emblée, la Fondation culturelle islamique nie tout règlement de comptes lié au courant religieux.
En effet, les personnes limogées opposent leur vision «progressiste» de l’islam à celle «rigoriste» du nouveau directeur saoudien Sethi Nimatallah.
«C’est faux, soutient l’avocat. Le directeur actuel est un personnage éclairé.» Sa décision reposerait notamment sur deux audits demandés par la Ligue islamique, portant sur la gestion de la Fondation du Petit-Saconnex. «Un des documents, datant de 2005, pointe du doigt des problèmes financiers et de transparence tout en proposant un train de mesures pour pallier les dysfonctionnements.» ->
Ben Laden aussi c’est un gars éclairé.
le jour ou le mot « tményik » sera bien compris par les bobos journaleux et autres académiciens, il sera déjà trop tard pour eux et leur « lardons » !
Voilà Berne inquiet ?
Pas assez à mon goût. Fallait jamais autorisé les constructions de mosquées.
La populasse doit faire valoir ses droits d’oppositions. Toujours pour les mêmes raisons bien connues. Mais à Genève ???