Ils distribuaient des tracts signés «La Rose blanche». Une exposition fait comprendre comment des étudiants de Munich sont passés de la fascination pour Hitler au refus. Jusqu’à le payer de leur vie.
«Ces longues expéditions nous fatiguaient beaucoup, mais nous étions trop émerveillés pour l’avouer… Nous nous sentions solidaires d’une cause, d’un mouvement qui, à partir de la masse, créait un peuple. Et le temps arrangerait certainement les choses déplaisantes», écrit Inge Scholl à propos de sa jeunesse. ->
Ils étaient jeunes, ils étaient catholiques, ils sont morts… Combien en retrouverons-nous pour relever les couleurs de la liberté et se dresser contre les nouveaux empires socialistes en préparation et les merveilles de tolérance et d’amour que semble nous réserver l’islamisation de l’Europe ?
Voir le film: Sophie Scholl les derniers jours