Femmes du ghetto turc – Necla Kelek

Elles habitent en Allemagne, leur mari y travaille, leurs enfants y sont élevés, elles touchent les allocations des services sociaux, et elles disent : «Les Allemands ne nous intéressent pas.» Elles insistent: «Nous n’avons pas besoin d’eux.» Qu’une de leurs filles épouse un Allemand? «Qu’Allah nous en préserve!»

Necla Kelek raconte le destin de ces «fiancées importées», mariées par leur famille à un compatriote venu travailler en Allemagne. Elles se sont retrouvées enfermées dans le ghetto turc, souvent voilées, traitées comme des esclaves par leur belle-mère, soumises au pouvoir du mari, interdites de cours d’allemand, cloîtrées chez elles.

Leur sort n’aurait sans doute pas été différent dans leur village natal, où les femmes, voilées parce qu’elles incarnent la souillure de la tentation sexuelle, n’attendent pas d’amour de leur mari: seule la mère est respectée.

Mais elles vivent dans un pays démocratique et Necla Kelek ne mâche pas sa fureur contre tous ceux qui, en Allemagne, ferment les yeux, au nom du droit à la différence et d’un sentiment de culpabilité mal placé. Elle interpelle en particulier les intellectuels qui, dans leur jeunesse, se sont battus pour la liberté, l’autodétermination et l’égalité et qui, aujourd’hui, savent agir pour le mariage homosexuel et contre la discrimination des femmes, mais «semblent frappés de cécité dès lors qu’il s’agit de l’islam». ->
PM – Merci aux membres de Liberty Vox

2 réponses à Femmes du ghetto turc – Necla Kelek

  1. Eric dit :

    Si ça peut préserver de l’abatardissement c’est déjà ça. Pour le reste, c’est une information de plus sur leur mentalité sectaire. La seule chose à faire est de les chasser.

  2. Poeme dit :

    Pas étonnant, je connais des turcs, arrivés en Suisse il y a 28 ans, eh ben! Ils ne parlent pas un mot de français. C’est leur fille qui doit se farcir les traductions et les trimballer de services sociaux en services sociaux ( comme d’hab, ils ne leur reste plus assez d’argent du chômage et des des services sociaux après qu’ils aient payé le leasing de la voiture à 80’000.- balles!!)

    Les turcs, qui veulent entrer dans l’Union Européenne, sont vraiment, vraiment un modèle d’intégration. Il n’y a qu’à se référer aux déclarations on ne peut plus gonflées de ce crétin d’Erdogan!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *