Plusieurs événements survenus en cours d’année ont confirmé le rôle que joue la Suisse pour les activistes islamistes et les djihadistes en matière de repli.
Le cas du Tunisien, détenu en Suisse à la demande des autorités italiennes en vue de l’extradition, montre bien que les islamistes ayant fait l’objet d’une poursuite pénale ou purgé leur peine dans un pays de l’UE voient en la Suisse une solution de remplacement. Selon certains indices, des islamistes chercheraient à regrouper leurs disciples en Suisse.
Tiré du RAPPORT FEDPOL