Strangers in the night : les barbus au dancing

Dans les grandes villes occidentales, il est facile, le soir venu, de repérer night-clubs, dancings et autres discothèques : il y a en effet toujours devant ces établissements un attroupement d’immigrés moyen-orientaux qui trainent là, agressent les filles qui passent (« hé, t’es bonne, toi ! ») et se querellent avec le videur qui leur refuse l’entrée.

Depuis quelques années, les gérants de discothèques sont d’ailleurs devenus l’une des cibles symboliques favorites des anti-racistes professionnels et des multi-culturalistes bornés. Les associations type SOS-racisme et consort les accusent régulièrement de pratiquer une discrimination teintée de « racisme » à l’égard principalement des populations d’outre-méditerrannée (pas à l’égard des asiatiques, comme c’est bizarre). A coup de testings répétitifs, plusieurs procès ont même été gagnés contre les patrons de nightclubs.

Ces gérants pratiquent-ils donc une discrimination « raciste » ou essayent-ils simplement de préserver leur business en interdisant l’entrée à certains clients hautement indésirables ?

La bonne santé d’une boite de nuit est basée sur deux éléments fondamentaux :
1°) la vente d’alcool
2°) la sécurité et le bien-être des clients

Hors, les clients musulmans (ou issus de)
1°) ne consomment pas d’alcool
2°) passent leur temps à essayer d’entreprendre la clientèle féminine avec l’agressivité et le mépris des occidentales propres à leur culture d’origine (les filles musulmanes, elles, restent cloitrées).

Le succès n’est pas souvent au rendez-vous : les filles refusent souvent de danser ou de discuter avec ce qu’elles considèrent comme des butors arriérés. Hélas, les musulmans sont incapables de concevoir ce refus et, n’hésitent pas à passer à l’acte : mains baladeuses, tripotages intempestifs, sont monnaie courante.

Les filles ont donc besoin de la protection des garcons occidentaux, et c’est le début des bagarres : coup de poings, coups de couteaux… La soirée est foutue. Et la discothèque aussi.
Le refus de laisser entrer une certaine clientèle n’a donc rien de raciste. C’est une mesure de simple sauvegarde économique.

Certains nightclubs ont essayé de trouver une parade en passant des accords avec la police. Ensemble, ils ont dressé une liste des principaux fauteurs de trouble, avec photos. Quand une personne correspond à l’un des portraits de la liste, la discothèque est en droit de lui refuser l’entrée. D’autres établissements ont essayé de créer un système de carte de membre.

Peine perdue. Quel que soit le système, les djeunz et les associations continuent de couiner et de brandir hystériquement les accusations de racisme.

D’autres discothèques ont alors eu une idée lumineuse : en prétextant de lutter contre la drogue, des chiens policers dépisteurs de drogue ont été placés à l’entrée afin de repérer les clients porteurs de substances illicites.
Ces chiens ne posent aucun problème aux occidentaux : tout en se faisant copieusement renifler, ils gratifient le toutou d’une petite caresse, et entrent sans moufter dans la discothèque.
Les musulmans eux, redoutent d’être en contact avec les chiens. Et bien souvent, ils quittent l’endroit sans demander leur reste.

Une autre idée commence à circuler sérieusement parmi plusieurs patrons un peu futés : ils songent pour de bon à redécorer leur salle de danse en utilisant majoritairement du cuir de porc pour tout le mobilier, des tables aux chaises en passant par les poignées de porte…

Ce texte est une traduction très librement adaptée et réécrite d’un témoignage sur le Danemark publié par le site Gates of Vienna.
PM

2 réponses à Strangers in the night : les barbus au dancing

  1. Bob dit :

    C’est pas du racisme c’est de la légitime défense.

    De toute façon nous sommes chez nous, nous acceptons et refusons qui nous voulons : c’est la liberté.

    S’ils veulent entrer, ils n’ont qu’à se faire apprécier.

    Les associations antiracistes ne sont que des racistes professionnels qui nous agressent et se font de l’argent sur notre dos.

  2. Jean-Claude French dit :

    Nous avons le meme probléme au Danemark, les jeunes d’origine du moyent orient,la plupart arabes musulmans sonts tout les week-end á l’origine de trouble devant les restos,discothéques,etc.. cela se termine trés souvent par des coups de couteaux,la plupart de ces jeunes arabes onts un couteau dans la poche,c’est presque une tradition chez eux,leur culture est tellement différente de la notre,je crois que l’islam les encourage dans le mépris des valeurs et traditions occidentale, on en a pas fini de baver avec eux,merci á nos gouvernants d’avoir ouver grande les portes aux hordes islamique.

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