Conseil fédéral: Le délire Vert

« Populiste, nauséabond », on mesurera toute la profondeur d’analyse politique du parti des Verts… 40 ans après mai 68. ->

Ils ont si peu l’habitude de la démocratie qu’ils oublient que lorsqu’ils insultent un parti ce sont ses électeurs et leur droit souverain de s’exprimer qu’ils bafouent.

M. Brélaz veut évincer Christophe Blocher pour protester contre le rejet et l’exclusion… allez comprendre. Bref, effets d’annonces et grand guignol, la perruche verte gonfle ses plumes pour remédier aux lacunes du budget campagne d’un petit parti qui rencontrera très vite ses limites.

Au passage, s’il aime le populisme nauséabond, M Brélaz n’a qu’à filer le train à ses coreligionnaires Daniel Vischer et Ueli Leuenberger

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